Augmentation mammaire en Tunisie

Qu’est-ce qu’une augmentation mammaire ?
Quelles sont les différentes techniques d’une augmentation mammaire ?
Comment se déroule la première consultation ?
Quelles sont les différentes prothèses mammaires ?
Comment se déroule l’opération ?
Comment se passe la période de convalescence ?
Combien coûte une augmentation mammaire en Tunisie ?
Quel rapport entre les prothèses mammaires et le cancer ?
Quand peut-on observer le résultat final d’une augmentation mammaire ?
Quels sont les risques possibles et les complications liées à l’augmentation mammaire ?


Qu’est-ce qu’une augmentation mammaire ?

L’augmentation mammaire est une intervention chirurgicale qui consiste à poser des prothèses mammaires pour augmenter la taille de la poitrine. 

La chirurgie peut dans certains cas corriger une légère ptôse mammaire, liée à une perte de volume limitée consécutive à une grossesse ou un amaigrissement. Dans le cas de figure où le relâchement est important, le praticien recommandera à la patiente d’effectuer une plastie mammaire. C’est en effet le cas où le mamelon descend plus bas que le sillon sous-mammaire. Le sein a ainsi besoin d’être remonté. 

Si la patiente opte pour une augmentation non importante, d’environ un bonnet de soutien-gorge, le médecin recommandera le lipomodelage.

Une augmentation mammaire permet avant tout d’améliorer la forme et le volume des seins. Suite à une grossesse, un allaitement, le vieillissement ou une perte de poids, les seins peuvent perdre du volume. L’augmentation mammaire vise à redonner aux femmes une allure plus jeunes, un buste plus ferme et une belle silhouette féminine.  

Par ailleurs, l’augmentation mammaire avec des implants fait partie du processus de reconstruction mammaire post mastectomie. D’un autre côté, l’intervention peut corriger une asymétrie de seins.

Afin de personnaliser la procédure et répondre aux besoins de la patiente, plusieurs éléments rentrent dans la planification d’une augmentation mammaire. Les implants peuvent être soit remplis de salins soit de gel de silicone cohésif. Chaque implant présente ses propres avantages. 

Les implants salins sont vides et on les rempli avec une solution saline ce qui confère plus de possibilités de personnalisation. Les patientes qui optent pour des implants mammaires en gel de silicone cohésif donnent un effet plus naturel et une sensibilité proche de la normale. 

La patiente aura aussi à choisir la position de l’implant : devant (pré pectoral ou rétro glandulaire) ou derrière le muscle pectoral (rétro pectoral)

Quelles sont les différentes techniques d’une augmentation mammaire ?

L’augmentation mammaire est l’une des opérations les plus répandues dans le monde. Elle peut être effectuée par l’une des trois techniques suivantes : 

L’augmentation mammaire avec implants : elle permet d’augmenter la taille des seins de plusieurs bonnets. Grâce aux techniques développées relatives à la méthode d’insertion et positionnement de la prothèse, les résultats obtenus sont plus naturels. Les prothèses peuvent être rondes ou anatomiques. Ces dernières sont en forme de goutte d’eau permettent un résultat similaire aux seins naturels. 

Cependant avec la technique en “dual plane”, la prothèse est positionnée à la fois sous le muscle et la glande mammaire. Dans ce cas, les prothèses rondes permettent d’avoir un résultat similaire, sans effet bombé. 

De plus, la prothèse ne risque ni de tourner ni de déformer le sein. Le choix de l’une ou l’autre dépendra de la morphologie de la patiente, de celle de sa poitrine, et des résultats qu’elle vise à atteindre. 

L’augmentation mammaire par lipofilling ou injection de graisse : Cette technique permet une augmentation de la taille des seins d’un ou deux bonnets maximum. De plus, elle ne convient pas à tous les profils de patientes.  

L’avantage de cette technique est son rendu naturel qu’il est quasi impossible de deviner si la patiente a eu recours ou pas à une intervention. La graisse injectée au niveau des seins se comporte comme pour les autres zones graisseuses. Elle grossit ou diminue en fonction des fluctuations de poids. Le lipofilling mammaire est en résumé une technique définitive.

L’augmentation mammaire composite ou hybride : avec cette technique, le praticien pose des implants mammaires et parfait le résultat avec des injections de graisse. Ces injections se font au niveau du décolleté, du pourtour de l’implant, entre les seins ou la zone située entre l’implant et l’épaule.

Comment se déroule la première consultation ?

Au cours de la première consultation, le chirurgien vérifie avant toute chose les antécédents médicaux et chirurgicaux de la patiente. Il écarte ainsi toute contre-indication comme un trouble de la coagulation, des troubles cardiaques ou une autre maladie. 

Il procède par la suite à un examen de la silhouette, du buste de la taille, la forme et le positionnement des seins. Il vérifie également la tonicité et l’élasticité de la peau qui déterminent le choix des implants. Pour une peau de mauvaise qualité, les implants ne doivent être ni trop gros ni trop lourds.  

Par la suite, le praticien explique à la patiente quels implants lui conviennent le mieux et comment il va les mettre en place : par voie aréolaire, axillaire (incision dans l’aisselle) ou sous-mammaire. 

Ainsi, les cicatrices seront situées dans l’aisselle, autour de l’aréole, ou dans le pli sous-mammaire. Le médecin expliquera également à la patiente comment il placera la prothèse (devant ou derrière le muscle pectoral ou derrière). La décision technique sera prise en fonction de critères comme la qualité d’élasticité de la peau.

Au cours de cette première consultation, le praticien expliquera aussi le déroulement de l’intervention, les examens à préparer avant la chirurgie comme la mammographie et l’échographie.

Par ailleurs, la patiente doit prendre certaines précautions : pas d’aspirine les jours qui précèdent l’acte chirurgicale, arrêter la consommation de tabac qui majore les risques de complications et de mauvaise cicatrisation. 

Le chirurgien abordera aussi les éventuels risques et complications possibles, des plus légères (plis, vagues, cicatrice hypertrophique) aux plus gênantes (perte de sensibilité, infection, coque, rupture), jusqu’aux plus exceptionnelles, phlébite, embolie. 

A la fin de la consultation, le médecin remet un devis, qui inclut ses honoraires, le coût des implants, les frais de bloc opératoire, d’anesthésie mais aussi le consentement éclairé. 

Quelles sont les différentes prothèses mammaires ?

La majorité des implants mammaires utilisés sont constituées d’une enveloppe en silicone. Plus rares, les implants peuvent être en mousse de polyuréthane avec un produit de remplissage. En accord avec sa patiente, le chirurgien explique les paramètres à prendre en compte pour choisir le modèle le plus adapté au résultat désiré. 

Ce choix s’avère être compliqué car il existe plus d’une dizaine de possibilités pour un même volume. Cela dépendra de la forme, de la projection et de la texture. 

Les implants remplis avec un gel de silicone relativement cohésif, c’est-à-dire dur au toucher sont les implants les plus utilisés. Les patientes les choisissent pour obtenir un résultat plus naturel contrairement à ceux remplis avec du sérum physiologique. Ces derniers donnent un effet bombé, et sont relativement durs à la vue comme au toucher. 

Si jamais l’implant est rompu, la viscosité du gel limite la fuite de silicone dans l’organisme. C’est d’ailleurs le principal avantage du sérum physiologique car en cas de rupture de l’implant, il est tout à fait inoffensif pour le corps.

Il existe également les prothèses rondes ou prothèses anatomiques qui ont la forme projetée d’un sein. Ce type d’implant est utilisé en reconstruction en cas d’ablation ou chez les patientes dont les seins sont très plats. 

En ce qui concerne la texture de l’enveloppe en silicone, elle peut être lisse, micro-texturée, texturée ou macro-texturée. 

La projection : un implant existe généralement en 3 projections différentes. L’essentiel est de réfléchir honnêtement au genre de poitrine qu’on veut vraiment, pour ne pas être déçue par des seins trop gros ou trop petits une fois l’œdème post-opératoire dégonflé. L’essentiel est d’avoir un rendu en adéquation avec sa silhouette le plus proche possible du naturel. 

Comment se déroule l’opération ?

Pour une augmentation mammaire par prothèse, le médecin commence par une anesthésie générale. Il peut toutefois associer une anesthésie locale, afin de réduire significativement la douleur dans les jours qui suivent l’intervention. 

Par ailleurs, pour les petites augmentations mammaires, le praticien peut réaliser une anesthésie locale associée à une neuroleptanalgésie, pour une récupération plus rapide. 

L’augmentation mammaire est réalisée en ambulatoire et nécessite au moins une nuit d’hospitalisation. L’acte chirurgical dure entre 45 minutes et 1h30 en cas de ptose mammaire associée. 

Pour la suture, des fils résorbables sont utilisés, et dans certains cas de la colle. Le chirurgien pose un drain (redon). Il permet d’aspirer le sang et les sécrétions dans le sein. Le système de drainage aspiratif est mis en place pour réduire les risques d’hématome. 

Si le praticien juge les risques d’hématomes mineurs, il évitera de poser le drain. Dans tous les cas, le médecin le retire le lendemain de l’intervention. Afin de diminuer l’hématome, la patiente doit porter un pansement modelant ainsi qu’un soutien-gorge pour un effet compressif. 

Dans le but de réduire la douleur ressentie, le chirurgien administre des anti-douleurs associés à des relaxants musculaires par voie intraveineuse. 

Un pansement compressif posé sera retiré le lendemain de l’intervention. L’hospitalisation pour une augmentation mammaire par prothèse nécessite 24 heures. La patiente doit toutefois être accompagnée à son retour chez elle. 

Avec les nouvelles techniques modernes d’anesthésie, le retour à domicile est possible le jour même, avec toutefois une surveillance durant la journée à la clinique. Après avoir retiré le grand pansement, le médecin posera un plus petit à sa place de façon à ce que la patiente puisse porter son soutien-gorge.

Comment se passe la période de convalescence ?

Une fois chez elle, la patiente doit se reposer pendant au moins 48h. Ce repos doit toutefois être actif avec la possibilité de promenades à l’extérieur. Il est aussi recommandé de faire des mouvements lents et contrôlés avec les bras et les épaules. Il est important de bouger après une opération pour faciliter la récupération et éviter d’éventuels problèmes de santé comme la phlébite. 

Quand elle est au repos, la patiente doit de préférence s’allonger sur le dos, avec la tête légèrement relevée pour faciliter la respiration. Et pour que les nouveaux seins restent hauts et fermes, ils doivent être soutenus.

Il faut donc opter pour un bon soutien-gorge ayant une bonne capacité de contention et de maintien, car la prothèse mammaire pèse plus lourd que la graisse, et la peau qui l’entoure sera davantage sollicitée. 

Par ailleurs, le soutien gorge utilisé doit être souple même pendant la nuit. La patiente peut reprendre le travail une semaine après l’opération. Il faut toutefois éviter les mouvements brusques et le travail exigeant pour le corps et surtout pour les bras. Si le travail nécessite une intensité et un effort physique, il est conseillé de reporter la reprise d’au moins une semaine de plus. 

Durant les deux semaines post-opératoires, il est commun de ressentir une certaine gêne, de la douleur et éventuellement quelques gargouillis à l’intérieur du sein. Ceci est surmontable et non inquiétant.

La patiente peut prendre une douche à partir du troisième jour suivant l’opération. La douche permet de nettoyer les plaies des zones chirurgicales qui sont désormais bien scellées. L’eau qui coule sur le pourtour des plaies aide à garder la zone plus propre. De plus la douche a un effet relaxant surtout après un événement stressant comme une intervention chirurgicale. 

Combien coûte une augmentation mammaire en Tunisie ?

En Tunisie, la chirurgie d’augmentation mammaire coûte en moyenne 2000 euros. Cela inclut généralement le coût des consultations ou du suivi post-opératoire. Dans certaines cliniques, ce prix peut concerner uniquement la chirurgie c’est-à-dire la pose de la prothèse mammaire, la chirurgie et les frais de son séjour à l’hôtel pendant 6 jours. En fonction de la formule choisie, le prix peut inclure ou pas plusieurs autres options. 

Si les patientes optent pour la Tunisie pour réaliser une augmentation mammaire, c’est sûrement à cause des tarifs avantageux proposés par les agences de tourisme médical. La Tunisie a en effet réussi à gagner une réputation mondiale grâce aux activités du tourisme médical esthétique. 

Le pays est devenu leader du domaine et les touristes affluent de tous les continents pour réaliser une opération de chirurgie esthétique en Tunisie. Ainsi, les femmes corrigent les petites imperfections de la silhouette ou du visage et se font refaire la poitrine pour élancer un corps de rêve.

L’expertise des médecins plasticiens talentueux et expérimentés est également la principale raison pour laquelle les patientes choisissent la Tunisie pour une augmentation mammaire. Étant le pays du bistouri par excellence, la Tunisie compte les meilleures cliniques esthétiques en Afrique du Nord. 

Le pays est devenu la destination préférée des touristes à la recherche de chirurgiens spécialistes tunisiens. Ces derniers sont entre autres formés en France et aux états unis et sont considérés parmi les meilleurs au monde.

Ainsi, choisir la Tunisie pour une chirurgie d’augmentation mammaire revient à une formule idéale pour ce qui est du rapport qualité prix avec la possibilité d’un séjour touristique. 

Des propositions all-inclusives sont aussi proposées par les agences de voyage pour garantir aux patientes un maximum de confort et de satisfaction.

Quel rapport entre les prothèses mammaires et le cancer ?

De nombreuses études scientifiques ont montré l’absence d’augmentation du risque de cancer du sein chez les femmes qui ont subi une opération d’augmentation mammaire. Les femmes souhaitant avoir plus d’informations à ce sujet peuvent consulter le site de l’ANSM ou encore celui du ministère des Affaires Sociales, de la Santé et des Droits des femmes.

Une récente information sur le risque de Lymphome anaplasique à grandes cellules associé à un implant mammaire (LAGC-AIM), a fait l’objet de plusieurs réunions d’experts médicaux. Une étude a été menée à l’échelle internationale sur « l’imputabilité éventuelle de certaines prothèses dans l’apparition de LAGC ». Les données relatives à ce type de cancer, qui est en effet extrêmement rare, manquent. 

Les statistiques rapportent 19 cas sur 400 000 porteuses d’implants mammaires à ce jour. En ce qui concerne le type d’implants qui pourrait être impliqué dans la survenue de la maladie, il semble que les modèles à enveloppe macro-texturée sont les plus communs. 

Comme les preuves formelles sur l’implication de ce type d’implant dans la maladie cancéreuse de LAGC, la médecine n’a posé aucune interdiction quant à l’usage de ce type d’implant. Un communiqué scientifique a été publié à ce sujet par un comité professionnel de plasticiens. 

Le communiqué indique qu’il est inutile d’inquiéter les patientes avec la liaison entre la maladie et les prothèses vu que la fréquence du LAGC est faible. Par conséquent, le risque est encore très difficile à quantifier. Comme le risque est minime, les plasticiens jugent inutile les mesures préventives quel que soit le type et l’âge de l’implant.  

Toutefois, les praticiens ont l’obligation d’informer les patientes de ce risque ainsi que tout autre risque grave pouvant avoir lieu suite à l’augmentation mammaire ou à l’anesthésie. 

Quand peut-on observer le résultat final d’une augmentation mammaire ?

Suite à une intervention d’augmentation mammaire, le résultat définitif apparaît entre 3 mois et 1 an après l’opération. Chez les patientes ayant un excès de peau, le résultat apparaît au bout de 3 mois.

La prothèse aura eu le temps d’être mise en place rapidement grâce à cet excès sans créer une trop grande tension au niveau de la peau mammaire. Par ailleurs, chez les patientes minces ou ayant un faible volume de poitrine initiale, l’assouplissement de la peau peut prendre jusqu’à 1 an. 

Ainsi, la cicatrice qui a permis de poser les prothèses mammaires met environ 1 an à devenir très discrète ou quasiment invisible. Cette cicatrice va d’ailleurs évoluer suivant 3 phases :

Au cours du premier mois post-opératoire, la cicatrice va s’estomper et se fermer complètement. Entre le 1er et le 4e mois, la cicatrisation sera intense avec apparition d’inflammation. Elle sera d’ailleurs la plus visible au cours de cette période. Entre le 3e et le 12e mois, l’intensité de la cicatrisation va diminuer jusqu’à disparition complète ou presque.  

La qualité esthétique d’une cicatrice ne pourra d’ailleurs être jugée qu’à partir d’un an après l’opération. Le chirurgien peut effectuer une retouche superficielle ou une dermo-pigmentation si la cicatrice est toujours visible au bout d’un an. 

Le volume mammaire sera modifié à la suite à une intervention et ce à cause de l’œdème. Après l’augmentation mammaire, l’eau liée à la réaction inflammatoire entraîne un gonflement temporaire au niveau du décolleté. Ce gonflement n’est pas très apprécié esthétiquement parlant, car il ne donne pas un aspect naturel au sein. 

Chez les patientes dont la glande mammaire est petite et qui n’ont pas eu d’enfants, la peau est très tendue à la fin de l’intervention. Ainsi, le volume mammaire est comprimé dans un espace limité. Pour que le volume situé dans le décolleté soit transféré vers la partie inférieure du sein, on compte sur le relâchement de la peau mammaire et celle de la partie inférieure du sein.

Quels sont les risques possibles et les complications liées à l’augmentation mammaire ?

Comme toute intervention chirurgicale, l’augmentation mammaire peut présenter des risques post-opératoires. Les complications liées à l’augmentation mammaire sont très rares, mais ils sont sérieux lorsqu’ils sont présents. Ils peuvent inclure l’un des cas suivants : 

L’infection se produit dans 1 % des cas. Elle peut toutefois être facilement évitée si la patiente prend ses antibiotiques. Si cela ne règle pas le problème, il sera nécessaire de retirer les implants.

Les risques inhérents liés à l’anesthésie générale qui sont présents pour toute intervention chirurgicale. 

Une baisse de la sensibilité au niveau des seins. En effet, un pourcentage de 3 à 15 % des femmes voient leur sensibilité tactile diminuer ou disparaître suite à une intervention d’augmentation mammaire. 

L’implant posé peut se déplacer. Dans ce cas de figure, le chirurgien doit opérer à nouveau pour le remettre en place. 

Il peut également se rompre. De nombreux cas de ruptures d’implants sont répertoriés, principalement lorsque ceux-ci datent de 10 ans et plus. L’implant déverse dans ce cas la silicone ou le liquide physiologique dans l’organisme. 

Dans ce cas, le chirurgien doit opérer à nouveau afin de retirer l’implant ou d’en remettre un autre si la patiente le souhaite. 

Une contracture capsulaire : ce risque est présent dans 25 % des cas. Il se produit lorsque le tissu cicatriciel rétrécit autour de l’implant dans les mois ou les années suivant la chirurgie. La contracture capsulaire engendre des déformations, des douleurs et un durcissement des seins.